Profite bien de cette lumière céleste Légère et transposant des rideaux les dentelles Chatouille les joues par leurs ombres sensuelles De ton visage qui sourit pendant la sieste
Une langueur soyeuse engourdit tout ton corps Faisant frémir un songe rempli d’innocence Et te rappelle les heures de ton enfance Souvenirs de quiétude et vierges de remords
Puis vient dans ton sommeil le fleuron des caresses L’offrande d’un baiser par ta douceur première Vertige supérieur à toutes les ivresses
Nulles contraintes dans un futile horoscope Ne t’obligent à quitter d’envoutantes clairières Ce dimanche ou la sérénité t’enveloppe