Rumeurs répandues des fantômes envolés Fumées crachées par les cigares du loch ness Vapeurs des infusions captieuses de prêtresses Ou Berceaux merveilleux des secrets dévoilés
Camouflant les décors vers lesquels tu t’avances Des ajoncs frémissants dont les têtes dépassent Des silhouettes d’anciens relevant leurs nasses L’opacité des brumes inspire ta conscience
Puis poussées par la bise matinale et chaste Elles frôlent l’épiderme sensible des eaux Dont les vaguelettes reflètent leurs contrastes
Regarde Victor ce qui recueille mes grèves Le point de vue des rives quand la nuit s’achève Où tu reviendras plus tard apaiser tes maux