Sur la rivière d'inanités visuelles, L'espoir se ternit, et la fraîcheur sépulcrale, Ne dévoilera pas ses instants sensuels Au voyeur confrontant sa patience impériale.
Seuls le déroulement magnétique du vide (où la moindre ride demeure imaginaire) Et le vocabulaire du néant président Son allure fermée sous un soleil austère.
Consterné par ce faisceau d'humeurs dédaigneuses, Je rentre, l'esprit dépourvu des souvenirs De remous magiques et de nageoires nerveuses.-
Cette nuit, quand les rêves viendront m'étourdir, Je repartirai vers des eaux moins capricieuses Aux habitudes excessives à se dévêtir.