A la lueur d'une splendide lune Je parcours des oisis et des dunes Je sème vivement mes poèmes Narrant aux aventuriers mon drame Une si triste âme brulée de flammes Je suis des parcours incertains Cherchant à tous les vents mon destin Détruisants des ésprits malsains Oh! Mon coeur!Que j'ai tellement faim
A la lumière d'un lampadaire Je recrée une poèsie sans vers Je lis Hugo et Boudelaire Je récite Racine et Voltaire
A la beauté d'un sourire éblouissant Je poème des vers luisants Je dessine un corps séduisant Dévoré par des fantômes malfaisants
Oh!Sindbad le marin! Oh!ésprits puissants Libérez l'innocent Je suis impuissant Le parcours est si long.