Il vient un temps. Il vient ce temps où tout change ! Il vient ce temps où tout ce mélange ! Où l’ombre est teintée rayures d’azur ! Où le plein ciel se marie à l’arc-en-ciel !
Restons, attendons ! On saura ! Coûte que coûte, ça se saura !
On se soigne d’herbe Du temps de nos ancêtres ! Milan, Baden-Baden, Hong-Kong, New-York! Paris, Tokyo, Malte, et que sais-je encore!
Et si l’idée traverse la scène, Tout simplement comme le Metteur en scène Et si ce n’est même pas d’une vraie cause, Et que seul sur lui tout et nous, on se repose,
Le maire n’a plus de maison, Et même il ne se ronge plus de passion, Qu’il va voir et pour dire si tout s’achève vraiment, Et qu’ici alors on recommence comme à l’ancien temps,
Le maire appartient à qui ? Sa place à la mairie tient de qui ? Son orgueil transparent vient de quoi d’ailleurs ? Et même qu’il soit maire apporte quel bonheur ?
Le maire appartient à qui ? S’il se ronge les doigts en observant sa propre vie; Toi, tu ne peux savoir si sa place est ou pas au paradis ! Simplement laisse laissons lui les clés des caves de la mairie.
Au soleil, sous la pluie, Au bonheur comme quand il replie,