Méchanceté n’est que poussière, Tes chants se taisent à son écoute. Mais balayée par ta lumière, Tes chances reviennent voir le jour.
Ne prends garde à ceux qui maudissent, Ils gaspilleront ton temps. Un esprit d’une si grande malice, Ecoule sa vie comme un torrent.
Et si ton coeur se noircit à leur vue, C’est que tu bois ce qu’ils racontent. Tu nourris ton âme de leurs grabuges, En t'inspirant du mauvais conte.
Quitte ce livre qui n’a pas tes couleurs, Car chaque seconde est bien trop précieuse, Pour ne pas les écouler auprès de ceux, Qui colorent ton temps de milles feux.