Maintenant elle s’inquiète, L’oiseau dans sa gorge ne chante plus Pour bercer l’enfant Dans l’âtre Une ombre silencieuse s’en occupe Sans l’avoir vu passé
Émue par tout cela Elle rêve à de vieilles histoires, Ses beaux ancêtres vénérés Et ce grand arbre Qui passait presque sa main, par la fenêtre. Comme pour mitiger sa solitude Traversée par de curieuses palpitations Comme si elle se fut une matière vivante.
Comment parler comme ça sans raison, Et pourquoi le silence Serre tant ses lèvres?