Est triste ce visage que j’admire. Il rassemble entre ses traits les secrets d’un héros captif. Est basse cette voix que j’admire. Elle m’offre tes yeux comme une fenêtre sur le front. Et dans tes yeux résident les secrets de tous les rebelles. Tes pas rythment le son du gémissement. Et dans tes haltes que de trésors : Il y a tout l’éclat d’une pluie abondante dans un regard lar Il y a un silencieux cri à la vérité amère. Il y a un salut au présent du passé triste. Et une disposition au voyage des affections vives.