Dans ma retraite si paisible et sûre, Une lumière brille sans cesse pour toi, Qui dans la cité au souffle chaud et impur, Dans le bruit et la fureur, assure son pas.
Imagine, dans l'éther céleste et pur, Cet astre sublime, caressant la plaine, Sous le Zéphir léger, s'agiter les blés murs, Bruire les feuilles menues des puissants chênes.
C'est bien toute la puissance de Lucie, Face au déclin inexorable du jour, Elle, qui nous préserve de trop longues nuits, Nous laissant rêver de clarté dès son retour.