Apiculteur, tu vois, les abeilles bourdonnent Pour indiquer les fleurs où il y a du nectar, Tu sais tant de secrets, protégés des collines, Quand tu ris dans la paix d’une joie sibylline, D’un amour plein rempli qui exhale alors que part Une nostalgie douce où l’espace résonne.
Je t’ai vu un instant, parler dans le silence, Dire que c’est parfait, tes yeux le confirmaient, Et remplis de malice, d’un bonheur lumineux, Donner tout de cela, tu ne le pouvais mieux, Entouré des collines, où le ciel s’animait De ses pires folies d’une pleine conscience.
Tu avais trouvé des clés, je les ai regardées ; Je me souviens de tout, je n’ai rien oublié.