Quand tu m’as posé cette question, je t’ai répondu :
Plus de gratitude que de certitudes, Et les robots peuvent aller gratouiller mars Dans l’euphorie des altitudes Aux interprétations des bars Des habitudes…
Quand tu les regardais avec tes yeux de chien battu,
Bien oui, quoi, c’est fini les fêtes ; Il faut se refaire une tête ! A la hauteur des ambitions Chacun la sienne avec passion…
Quand tu comptabilisais dans les variétés,
Des chemins, des chemins sans fin… Des mensonges et des vérités, Chacun les siens, chacun les siennes, A des rencontres pour un brin Illimitées Où les mots peuvent se poser A l’infini sans un problème…
Quand tu additionnais chaque espoir émietté,
Et chaque page était un jour, Des fois chiffonné aussi sec ! Qu’ils sont sourds, tous ces mots, toujours… Des fois chiffonnés aussi sec !
Et la musique pour recours…
Et puis sans un crayon directement direct,
Les mots, Pour dire un petit peu que je vous aime, Même si des fois pas facile ! Mais il en reste encore un peu, quand même, Monde débile, Des mots pour dire le plus beau !
Quand ton regard m’a dit que tout était impec,
A l’opposé des niaiseries Des amitiés bien véritables. A l’opposé des conneries Des valeurs qui sont respectables.
Quand tu m’as posé cette question, je t’ai répondu :
Plus de gratitude que de certitudes, Et les robots peuvent aller gratouiller mars Dans l’euphorie des altitudes Aux interprétations des bars Des habitudes…