Là, tu arrivais à peine, A l’endroit ou la mer est bleue comme le ciel, La nuit, aubaine : Des étoiles partout le ciel est démentiel ! Ah ! quelle journée pleine… D’un voyage périlleux à rebondissements, A la trace j’écoute Des pulsations d’un cœur son éblouissement… Là, tu arrives à peine, Au pays ou le jour resplendit sans le doute.
Tu sais bien, tu sais bien comme la joie arrive, D’une pure conscience à un moment donné, juste à côté Des possibilités encore d’une autre rive Ou des sentiments neufs permettent mieux d’aimer. Des pérégrinations, avec leurs anecdotes, Et le fil relié des nouvelles du jour, C’est pas que je radote, Mais j’étais bien content tu le sais à mon tour.
Et toi tu souriais, sous le feux des étoiles, Quand le vent dans le port s’amuse, sur les voiles Des bateaux alignés agitant leurs haubans. Et si tu passes là, des fois, par advertance, Tu seras de ces mots à la bonne distance, Pour les savoir pour toi, Et des souhaits sans limite pour chacun des instants Qui vont remplir ton cœur une soudaine fois. A de nouvelles sources, fais de nouveaux breuvages De sentiments plus forts, d’impressions messagères Qui guident mieux que tout aux plus vrais paysages :