Du plus profond des rêves qui sont vérifiés Plus grands que les jours gris endeuillés de regrets Plus forts que les semblances qui sont statufiées Plus hauts que les sommets d’expectatives ancrées…
Si je pouvais te dire tout ce que j’aimerai te dire Il me faudrait du temps Et nager dans tes yeux pour t’écouter sourire, Il me faudrait le vent Pour rester silencieux en disant l’essentiel, Et toi tu comprendrais… Dans l’ouvrance d’un cœur à des champs visuels Larges, ou des ciels nacrés Festoient dans l’insolite d’un moment partagé Comme on partage plus !
D’un désir si puissant que des mots encagés Débordent en des reflux Pour diriger leur sens, vers un visage unique Une voix modulée, Dans le crépitement des multiples musiques D’une seule envolée ! Dans les palpitations d’un sentiment qui vient Bousculer les limites Des souvenances intactes, comme l’on se souvient De tous les sens cachés…
Là où s’est révélé la page qui contient Un chemin à marcher, Là où s’est affirmé, en des temps diluviens, Un soleil décaché !
Du plus profond des rêves qui sont vérifiés Plus grands que les jours gris endeuillés de regrets Plus forts que les semblances qui sont statufiées Plus hauts que les sommets d’expectatives ancrées…
Si je pouvais te dire tout ce que j’aimerai te dire Il me faudrait du temps Et nager dans tes yeux pour t’écouter sourire, Il me faudrait le vent Pour rester silencieux en disant l’essentiel, Et toi tu comprendrais…
Si je pouvais te dire tout ce que j’aimerai te dire Il me faudrait du temps Et des vies en cascades pour gommer les soupirs Qui ont duré dans le sang… Je parlerais de toi aux galaxies lointaines Pour savoir d’où tu viens, Et je prendrais ta main, je ne dirais plus rien, Dans une joie soudaine !
Si je pouvais te dire tout ce que j’aimerai te dire, Si… juste ton sourire !