Le temps du dur boulot vient de se terminer Et l'espoir du bonheur d'une fin de semaine Très régulièrement chaque fois se ramène. Il est venu le temps d'enfin se déchaîner.
On s'en va tout la-bas un peu pour promener. Pierrot le mécano retrouve son domaine Avec l'accordéon à la saveur humaine Tandis que les refrains vont bientôt s'enchaîner.
Toi, tu revis toujours dans ce bal du dimanche, Voguant parmi les sons d'une gaîté si franche Sur les bords d'une Marne aux doux flots entraînants.
Valse du prolétaire ou du pauvre en goguette, Malgré les jours tout gris, les éclairs détonnants, Continue de tourner, java de la guinguette.