Le livre, cet ami, me raconte une histoire Avec des mots divers qui courent sur les pages, Apportant chaque jour son lot de rêveries ; Il tombe du bonheur comme un cadeau du ciel Avec des rayons d’or ou parfois la tempête Quand vivent tour à tour des mondes différents.
Le roman sait montrer des hommes différents, Dans le récit touffu, dans la plus simple histoire ; Il souffle dans les cœurs les bruits d’une tempête Tandis que l’on entend le bruissement des pages Puis l’orage s’apaise au fil des rêveries Où courent sans arrêt tant de couleurs du ciel.
La poésie est là, s’élevant vers le ciel, Avec ses mots d’ailleurs, ses accents différents ; Pas de fil conducteur, pas besoin d’une histoire ; L’univers aérien court à travers les pages ; Des cieux couleur de bleu, le temps de la tempête, Chantent à tour de rôle un chant de rêveries.
Les écrits du théâtre offrent des rêveries Comme cette réplique envolée vers le ciel, Un univers changeant où souffle la tempête, Ce monde des tréteaux aux cris si différents Quand la littérature écrit une autre histoire Où l’acteur et l’actrice nous récitent des pages.
Le polard tout en noir construit la triste histoire, Celle du mal qui rôde avec des rêveries, Où l’on côtoie sans fin des monstres loin du ciel ; On avale soudain, d’une traite, l’histoire, Avec l’univers glauque aux être différents, Offrant pour le plaisir ses avis de tempête.
Cet objet, notre ami dans les jours de tempête Ou sous le ciel d’azur, vient nous offrir ses pages, La phrase palpitante au long des rêveries ; On aime à parcourir des mondes différents Dans le gouffre profond ou sous le bleu du ciel, Dans l’univers complexe ou dans la simple histoire.
Écoutez une histoire Toute emplie de tempête Ou bien de rêveries Et dégustez les pages De mondes différents Dans un livre et son ciel.