Ah Faustine, tu me fais soupirer ! Que ne puis-je t'enlacer au cœur de mes soupirs, T'embrasser, te serrer à l'heure de mon désir ; Mon Amour ne peux-tu pas m'aimer ?
Voudrais-tu dans ma main y déposer la tienne, T'allonger avec moi sous l'arbre de l'amour, Apprécier nos doux mots sublimés chaque jour Par la fusion de nos pensées aériennes ?
J'aimerais te noyer de cent mille délices, Je voudrais contempler chacun de tes sourires, Accueillir dans mes bras chacun de tes soupirs.
Tu passes devant moi comme un feu d'artifice, A chacun de tes pas mon âme est suspendu, L'heure de notre amour n'est pourtant pas venue.