La nuit sur une plage, un homme saoul rêvasse ; Le sable aime accueillir ce vieil ami qui passe ; Le vent léger du soir caresse son visage, Ses yeux percent le noir, contemplent le rivage.
Les vagues lancinantes aiment les vas et viens, Humidifient le sable et repartent au loin. Espiègles, elles aiment taquiner les rochers, Sous l’œil de la lune s’amusent à tressauter.
Les rayons de ce cercle à couleur de safran, Illuminent les vagues et balaient l’océan, Les lumières des villes scintillent à l’horizon, Adossé au rocher, l’homme admire ces néons.
Souvent, son regard se lève vers le ciel, S’attarde sur les astres que la nuit constelle, Éprouve du vertige devant ces étincelles, L’homme rêve aux secrets que l’univers recèle…
