Honorée par les chutes des enfants Apetissée par le besoin des yeux de la société Affaissée par les asiles des estivants Pénétrée par les nombreuses traversées Surélevée par le souffle gourmand Déplorée par la privation de labouré Glorifiée par le chiffre quarante des départements Effacée par l'homme retiré Amoncelée par le désert et par le reflet du néant Oh ma dune de sable que tu fais un beau fessier