Toi qui jadis vantait ta belle âme enflammée, Aujourd'hui ce n'est plus qu'une banquise de regrets. Assoiffé de triomphes, tes échecs t'ont déchu, Engloutissant ainsi tes désirs ingénus.
Aveuglé de fardeaux, tu rêves d'un autre temps: Bien avant tes erreurs, pour t'écrire autrement. La bataille terminée, ne t'attends plus à mieux; Etant ton propre traitre, tu as perdu au je.