Le jour se lève tard ce jour de fête La douleur a encore raté la chance De me vaincre 10 heures : il n’y a d’espoir Que dans le café d’un petit déjeuner raté Ce noir est plus miroir que grimace Midi : il fait trop chaud pour survivre On s’installe ce midi et moi Sous un soleil au mitan d’une douceur en mal de douleur Le soir n’est qu’à un pain De la dernière faim Il est plus beau de laisser tomber la nuit Avant le bonheur du jour
Decrescendo : l’ultime seconde de chaque vie comme fête