La seule, l'unique Celle du hasard Une parenthèse dans une vie Qui décline vers la nuit. De ce fruit défendu J'ai gardé le parfum De ses lèvres sucrées Il m'en reste le goût...
Pas à rougir De quelque chose de beau D'une lumière élairant Un corps qui vacille Lui offrant le chemin D'une autre vérité Depuis trop longtemps oubliée...
Envolés honte et regrets Au-dessus des cîmes de mes doutes D'aimer ce n'est pas un crime Surtout pour noyer l'enfer Le ciel restera clair Et mon âme sereine Avec au loin l'image D'un visage heureux...