Á Lerka, Mme Bako Rasoarifetra & Mme Christiane Rafidinarivo
Et de là bas nous vint Kana sur les ailes de la perpétuité. Dans son habit de glissement perpétuel, Empreinte d’essences et de couleurs, Propre à l’histoire ‘’indianométisse’’, Dans ce perpétuel glissement pourpre.
Entendez vous dans les hurlements des vents, Venir la parole des perles dans le flux des reflux; Emporté par l’écho levant l’avant du coquillage ? Raconter l’histoire de ces îles turquoise !
Quel glissement perpétuel, Si ce n’est ce croisement entre les races ? Dans quel perpétuel glissement, Si ce n’est l’homme consultant le divin ? Par un ‘’ Rumbu’’ aux empreintes de Rumba, A la croisée des rumbs, usant de rambours.
Perles ! Chapelets que je porte dans mes prières. Es-tu talisman sur la hanche et le cou De cette femme Comorienne, Dans sa recherche de procréation ? Ou envoûtement de l’éternel questionnement Sur mon pauvre héritage d’esclave, rich
Perles ! N’es–tu pas cette beauté sur le corps créole ? Emportant l’homme dans la douceur des cliquètements, Saisissant le sens de ses sensations sensibles, et endiablée
Perles, Parles de tes peines suspendus dans l’enfermement des non di Est-ce par dévotion, ou respect de l’émotion mouvante, Dans ce ravalement continuel, d’une identité commune, Que tu me retournes comme sur la face d’une vitrine, Le reflet de cette ombre que j’ai enfuie dans ma subconscie
Mais quel est ce fourvoiement qui m’a étouffé Pour t’ignorer si longtemps oh ma phénix ! Connais – tu la profondeur des arcanes sécul Oh toi fille de la mer et des volcans i