Les nues pleurent… Et moi, oiseau migrateur, Je traverse chaque automne des périodes désertées, La tête mouillée, Et le vent qui chante le départ Essuie la sueur de mon front, Larmes de la mémoire, Qui glissent et remplissent mes yeux… Que d’amour dans cette flaque d’eau grise et tiède!