Je me plains d’amour et de pain Je me plains de chair et de sein Je me plains de tout ce que l’humanité a en son sein Je me plains de la cupidité de l’homme et du saint Je me plains de l’arrogance divine dans nos mains Je me plains de la tentation du devin Je me plains de la lame du destin Et de tout ce dont j’aspire sera à demain L’ultime confession d’un misérable pantin.