La vague cette fois-ci était trop forte. De ce que l'on sait du Japon, Une lame de fond maintenant le transporte. Le poids de l'Histoire ne fait plus front.
Les forces de l'océan se sont abattues D'une seule et même volonté naturelle, Remettant en question une "tour de Babel" L'orientale science des plus ingénue.
Le monstre, la bête, la centrale, L'ivre cerveau humain s'est éffondré, S'est répandu tel un poison létal, Tuant les innocents, sous nos yeux hébétés.
On avait entendu parlé les sages Derrière les masques et les ombres, D'une une voie rassurante, et l'adage, Les théories soporifiques soudain sombrent.
Une partie du monde avec le vivant A maintenant disparu. S'est éteint La morale rigoureuse des dogmes reluisants, Derrière le masque il n'y a que des cris vains.
Comme un monde désormais englouti, Il ne semble plus rien à reconstruire. Pas besoin de plus d'images pour voir pourrir L'avenir d'une civilisation meurtrie.
Confucius n'avait-il pas déjà averti Qu'un ordre naturel présidait déjà A la table de ce pays ?
Et l'homme dans cet au-delà, S'y est assis en tant qu'imposteur Pour finalement y trouver le malheur.