Ton eau la soif des étanches des appels sonore des sources de mer Ton eau de bouche des Berbères dans le souvenir de l’enfance Tes rochers de pierre des piliers de la montagne labourée sur la soir des habitants millénaires Paysan recommencé ton labeur j’ai détaché de ton labeur le regard de mes clartés Ton labeur auréoles renouvelés Ton labeur payant dans le champ vert des lucioles de nuit Ton labeur de sueur qui arrose les racines de la terre et la merveille le berceau et la berceuse Roucoulante Tes figuiers, tes oliviers qui t’entoure la raison d’être de ta source fraîche et les villages Endossés à tes côtes
La douleur comme une fontaine aux sources des profondeurs