L’oiseau de feu survole la clairière, Il se perche dans l’arbre le plus haut. Il scrute les alentours son voisinage, Là, s’arrête son voyage paradisiaque.
Bonheur et sérénité, Douceur d’un rêve.
Dans la clairière le soleil inonde, La place verte au parfum musqué. Des mures, des fraises, et les raisins S’allongent au milieu dans la sérénité.
Bonheur et sérénité, Douceur d’un rêve.
Le souffle tiède et léger du vent, Caresse les arbres et les arbrisseaux, Longeant le ruisseau caillouteux, Celui-ci saute d’une pierre à l’autre.