Dans ce songe la sève de deux corps Prends un tournant brûlant d’effort Où ils trouvent un grand confort, Des plaisirs langoureux d’un sport. Il n’a rien de malicieux ce rapport, Cet effeuillé dans l’immense Océan d'or.
Sur le sable chaud sous ce soleil, La plage, dont les odeurs se délayent, Sous le regard soyeux, qui s’émerveille. Enfin, à l'aube, c’est le réveil, Le feu des caresses langoureuses s’enraye, Le désenchantement illusoire m’effraye.
Quand les songes m’entraînent accompagné, D’un univers, d’une réalité si éloignée, Au cœur de vagues rêveuses imprégnées, Du guide de cette destinée ensoleillée, D’un amour s’unissant par l’effeuillé Au divin plaisir simple de l’estampillé.