Croasse, ce corbeau, dans les airs… L’invisible Alentour se remplit de fantômes, de peurs : Il fait froid, il fait solitude, l’indicible, Aux pieds de l’arbre où elle a gémi sa douleur.
Et les croassements, en rythmes, se débattent, Accompagnent la peur, survenue d’un ailleurs… La petite Poucette s’enfuyait à la hâte, Hors des coups-barbelés qui lui accrochaient –cœur.
Le corbeau la rejoint dans l’hiver de la plaine Et la mène jusqu’à quelque aboiement de chien : À la ferme on la prend, l’emmitoufle de laine… De l’anonyme appel, elle ne dira rien