Certains se pavanent Dans les « hauts lieux » De la connaissance, En oubliant Qu’à nulle être n’est donné, Le secret des flux et reflux de l’existence !
D’autres paradent Avec leur foi, En oubliant Qu’à nulle prêtre n’est voué, Le salut de leurs âmes !
D’autres enfin, dont je fais partie, Se contentent De la brise qui les fouette, De la pluie qui les lave, De la flamme qui les réchauffe, Et de la terre qui supporte leurs pas, Jusqu’à trépas !