J’ai vu des larmes de tristesse et non de joie, Jaillir dans des moments de grand bonheur. Comme j’ai vu des sourires et des rires éclatants de joie, Aux moments les plus funestes et les plus malheureux !
De telle sorte que je me dis : Que le cœur de l’homme, ses sentiments, ses sensations, Ce qu’il donne comme représentation De tout ce qui le constitue, Est aussi obscur et impénétrable Que les voies des dieux !