J'ai pitié de cet oiseau Prisonnier de nos petites cages Lui qui survolait les hauts plateaux Les lacs,les Oueds et les marécages Qui accompagnait nos bateaux Partant pour de longs voyages
Donnons lui la liberté qu'il faut Si nous sommes vraiment sages Pour que demain très tôt Du milieu des arbres et des feuillages Un chant clair, limpide et beau Aigaie nos villes ternes et nos villages