Si en ce lieu je pouvais construire mon tombeau En vérité, mon âme serait partie en flambeau Au contact de tes yeux mystérieusement dressés Mon cœur ne restait plus d’atout que de s’affaisser
A ta première vue la musique de mon cœur Accouchait l’ambiance qui m’appelait en douceur A danser l’ultime valse qu’offrait le bonheur En présence de lumière à l’insu du malheur
Si belle est la rivière qui mène à ton jardin Mais de m’y lancer me prévenait le dédain Mais quant au regard de notre dernière rencontre Plus rien me préviendra de partir à l’encontre
Oui je voudrais habiter à l’ombre de ces regards, Etre prisonnier dans les verrous de tes renards, Passer l’hiver dans la douce brise de ta clémence Et jouir de l’été sous le ciel de ta présence
Dans ton regard se cache une foule de mystères les déceler impliquerait tant de misère mais pour un tel butin même l'abime est bonheur si l'on veut s'attirer la sublime faveur