A chaque silence, sa muse Dans son coin, le diable s’amuse. Les mots de partout fusent Sous les lits, que de méduses.
Tel l’herbe jonchant le sol La culture n’étant plus, l’idole Impuissante elle dégringole. L’esprit du mal, plane et vole.
Humains, bernés, se détruisent Sous les coups, ils s’épuisent Le sang coule, point de prise Là-bas, l’aigle s’extériorise.
Hurlant, les femmes s’affolent Aux seins, l’innocent se colle. Point d’égale chez les bestioles Satan pour le mal est un parasol. Le Lucifer ordonne, haine attisée Ils se veulent voisins tout prisés Saccagés, l'espoir est brisé Sur la folie ils ont tout misé…