Voyager à travers les mots A toi je dédis mes phrases. La rivière libère son trop Entre un et trois, le deux s’embrase Regarde, tout sombre dans le faux Ils nous plongent dans la vase Etre pour être, valentin et beau.
Bien en retard, c’est du passé. Cinq lettres pour rêvasser. La vérité, il faut se surpasser Aujourd’hui, que de déclassés.
Le sage fatigué s’éreinte Plaines et digues mal teintes Le mort emporte ses plaintes Dans l’au-delà point de feinte.
L’esprit sans esprit s’ennui Longeant les murs s’enfuit Près des vagues il se détruit Il n’attend rien de cette vie.
Le cœur sans raison torturé Les joues de larmes saturées La tristesse ne fait que perdurer Sur la tête l’épée a tout juré.