Je vois se profiler devant moi une nuit Une nuit que je devrais peut-être blanchir Une nuit qui me déroulera noir et gris Une nuit où je craindrais pourtant de dormir
Une nuit au visage cireux et bien froid Pâle visage qui ne cesse de pâlir Pâle visage moins pâle que la voix Qui me chuchotera les douceurs de mourir