Quand pense que je suis guérie De la terrible pense, de ce grand mépris Je me trouve hélas envahie Et sans aucune chance, je tombe dans l'ennui. J'ai peur de penser que j'ai tore, quand je me rejui Et la grande peur de penser que j'ai raison aussi Je me tais et de mon cas je me soucis. Je m'étonne de l'état que je vis Et que je revis toujours, Autrement dit; L'enchanteresse vie Qui semble être un paradis Est apresant un simtière sans vie.