Chaque nuit, un monde mystérieux s'éveille Les ombres assombrissent Les façades bigarrées Et des bédouins insouciants Assis contre de sombres masures Regardent le ciel étoilé Eclairer, là-bas, les halles animées
L'air embaume la pulpe La pulpe des fruits lourds Pleure ses larmes d'or Tandis que les cèdres doux Exhalent leurs délicats parfums Seul, le ciel, Qu'envahissent des rayons de lune, Chuchote son histoire Au lointain des dunes...