Petite Juliette, Fruit de novembre, Dans la tendresse D'une nuit d'ambre, Ouvrit les yeux - Nous a souri ; Toi, fleur divine De la vie. Petite Juliette, Ton coeur est tendre ; A l'amour impatient, Tu n'as pas su attendre (!) Le 8 décembre Etait trop loin, De maman il fallait A tout prix Prendre soin. Petite Juliette, Fleur de novembre, A la lueur D'une boule de cendres, Papa est fier - L'amour s'agite ; Tu as touché les coeurs, Ces danseurs crépitent ! Petite Juliette, Campanule des prés, Dans son Dernier matin, Novembre a chuchotté Toute ton envie De vivre - de taper Dans tes mains ; A l'aube où tous les anges T'attendaient Pour chanter. Drappées d'aurores, Mon âme t'écoute ; Je devine tes yeux - Ton sourire malicieux. En attendant décembre, La magie de Noël, Je t'envoie des baisers ; Un amour éternel.
A Juliette, ma première nièce, Au jour de sa naissance, avec tout mon amour.