Superbe indifférence dans ta démarche féline Tu passes sans me frôler, tu es reine de ces lieux ! Même ton ami le chien jette un regard honteux A l’harmonieuse silhouette de dame la Câline…
Un jour tu as choisi de vivre dans ma maison, Je t’ai ouvert ma porte, tu as pris possession : Du divan, du fauteuil et aussi mon cœur ; Tu glisses ton regard froid tourné vers un ailleurs.
Tu t’es laissé aimer, mais donnes-tu ton amour ? Tu fus abandonné et depuis pour toujours Ta confiance est déçue, pour tout le genre humain. Je t’aime et te câline, mais tu préfères le Chien !