En ouvrant les volets j'ai fait entrer le froid Au tour de ma maison l'herbe était gelée. En ouvrant les volets, j'ai assumé ma croix, Le sable blanc a recouvert mon cœur blessé.
En ouvrant les volets la vie s'engouffre en moi Que c'est long une journée nourrit de souvenirs Ils se bousculent,rebondissent, vivent sous mon toit Je dois combattre dur si je ne veux mourir…
Me voilà devant vous derrière un écran plat, Vos amis, vos sourires sont installés par là… Vous êtes si proches et pourtant si lointains De la danse endiablée ou m'entraîne mon destin.