Sur son visage il y a les rides du rire Sur son visage l'éclat de ses beaux yeux Son visage se détend dans un si doux sourire Parfois il se concentre et devient radieux.
Sa jeunesse pétille bien au-delà des rides Quand son corps se voûtait, je ne le voyais pas Quand elle m'a quittée ce fut un si grand vide Je ne serai heureuse que de la voir là bas…
* Là bas ? me direz vous, mais tu rêves fillette… Il y a un grand vide ou dansent les galaxies Là bas c'est le néant, ni ogre ni nymphette Ne tournent aux sons de musiques ou de cris
Là bas, ni Dieu ni Diable ! Un bouddha oublié ? Non, même pas, les flammes ne brûlent pas en enfer Des espaces sans nom et d'énormes glaciers Tout cela entoure et emprisonne la terre.