Un corridor étroit se déroule sous mes yeux, Je lui emprunte le pas, hélas, faute de mieux.. Les portes sont fermées pas un rayon ne passe, L'univers de Kafka pénètre ma carcasse…
J'avance pas à pas car ceci est ma vie Même si le corridor peu à peu rétrécit ; Je tourne le loquet, tout espoir est-il mort…? Les portes étaient ouvertes quand j'entamais mon sort
Et je tombe à genoux suppliant le Seigneur : " Cette marche forcée commence à me faire peur. " Rien ne bouge, je me traîne et n'en vois pas la fin… Serait-ce le corridor que réserve mon destin ?