Un vent glacé me pénètre et m'enlace, Ce ne sont plus tes bras, ni le son de ta voix Le sifflement du vent complète mon désarroi Désespérée comme le vieil arbre qui casse
Et craque, plainte sinistre dans le sous-bois. Solitude à laquelle je voulais échapper M'entraîna dans cette lointaine contrée, Le vent s'engouffre de plus en plus fort, j'ai froid !
Je veux crier, le souffle court, je presse le pas Je t'appelle encore, mais tu ne m'entends pas !