Quand je croise ce regard impitoyable et froid, Ce n’est certainement pas celui de l’indulgence ! Il dépouille mon âme chaque jour, et je crois… Me réclame, sans doute de lourdes pénitences !
Je ne vois ces yeux là qu’à travers mon miroir, Ils me poursuivent le long de toute mon existence. Et rien, je vous l’assure, ne peut les émouvoir… Ces yeux impénétrables sont ceux de ma conscience !