Lorsque le vent me prend dans ses bras Je voyage, je voyage le plus souvent vers toi Je frémis, je frémis d'une fièvre tendre et forte à la fois Là-bas, là-bas au bord de l'abîme de tes pas
Lorsque le vent me prend dans ses bras Il palpite, il cueille mon coeur dans nos autrefois Il révolte mes pensées aux rêves immédiats Là-bas, là-bas à la source de nos joies
Lorsque le vent me prend dans ses bras Il réveille tous mes anciens désirs au creux de ta voix Il berce mes soupirs de rire en éclat Là-bas, là-bas au paradis où tu n'es pas