Et puis, j’ai souhaité continuer. J’ai eu quelques drôles d’idées. J’ai souhaité transformer Des murs qui me faisaient gerber, Là où y avait trop de publicités. Et là, je les ai déchirées.
Prendre en compte la diversité des divers cités, L’hiver comme l’été, ne pas voir que l’opacité.
Je me suis alors mis à pleurer. Fallait bien expulser Ses trop pleins de vides à combler, Ce besoin de rêves et cette quête de beauté. Fallait bien le faire pour avancer. Fallait bien le faire pour mieux cheminer.
Alors, j’ai hurlé Et je me suis senti plus léger. Et j’ai crié des mots vérité, Des blessures étouffées. Marre de l’artificiel Et de ce que cela génère …
Des gênes errent … Ca dégénère !
Prendre en compte la diversité des divers cités, L’hiver comme l’été, ne pas voir que l’opacité
Sur les murs il ne restait Que des traces de colle et du papier. Et là, je me suis laissée aller. Sur les murs il ne restait Que des fragments de réalité, Des empreintes de singularité.
Je voyais plein de choses sur les murs. J’ai ébauché des croquis sur mes carnets, Puis j’ai peint sur les murs. Mon carnet, mes crayons ne me quittaient plus. L’expression devenait mon armure. Alors que je croyais que l’Art n’était pas fait pour moi.
Suffit d’être créatif Et le regard change sur les choses … Etre cré-Hâtif … Etre cré-actif Se hâter pour voir et ressentir Un désordre de désirs, Et les mettre en forme dans une activité Faite avec sincérité, avec sa vérité…
Prendre en compte la diversité des divers cités, L’hiver comme l’été, ne pas voir que l’opacité. Trouver sa VERITE..