Savoir Quitter le nie assez vite en hiver Gratter le vernis et reconnaître le déni derrière Et ces manies de visions réductrices et mortifères Ces visions de panique, de prismes déformés Par des représentations erronées tellement loin des réalités
Les rats passent et paissent… Pissent, pètent et répètent Avec d’épaisses appétences De pustules viscérales.
Chercher l’harmonie assez loin des rapaces Avant que le néant ne reprenne sa place qui me glace Toujours aller vers l’unité de soi N’être ni celui-ci, ni celle-là
Les rats passent et paissent… Pissent, pètent et répètent Avec d’épaisses appétences De pustules viscérales.
Toujours dans le clan des bannis A l’infini… Mais le nid ça existe ?