Comme un petit chat qu’on renie Qu’on veut abattre parce qu’il vit Je cherche en vain un compagnon Sans pour autant être mon patron ;
Que cette personne me guide partout A travers l’ennui et la violence Allant ensemble vers le grand Tout Pour lui enlever son ignorance ;
Lui seul sans doute pourra nous aider à trouver Tous nos amis qu’on nomme « fadas » Pour que le monde soit sauvé ;
C’est cette famille des gens qui pensent Qui arrivera à réveiller le monde Au milieu de la brume intense Dans laquelle la vie s’inonde ;
A tous ces êtres endormis Ils lanceront un seul message Unissez-vous et battez vous Ne franchissez pas le dernier passage Le dernier voyage du monde ensevelit.