Des grandes pyramides jusqu’à Abou Simbel, Je remercie les grands Pharaons quels qu’ils soient, Dans leur grandeur et leur quête de merveilles, D’avoir gravé à jamais leurs exploits ;
Et dans le calme de la nuit qui me berce, Sur le Nil où le soleil doucement disparaît, Je ferme les yeux et mon cœur cherche, L’âme de ces grands rois présents à jamais.